Le gouvernement Bayrou a dévoilé son projet de budget 2026. Sous prétexte de « faire des économies » pour « maîtriser les dépenses publiques », il propose un plan d’austérité qui n’a qu’une seule ligne directrice : faire payer la crise aux travailleurs et travailleuses, aux retraité·es, aux jeunes, aux plus précaires, aux privé·es d’emploi, aux étudiant·es… C’est non ! TOUJOURS MOINS POUR NOUS Coupes dans les budgets des hôpitaux, des écoles, de la justice, des transports : c’est la casse du service public qui s’organise. Les suppressions de postes s’enchaînent. Les salaires stagnent. Les retraites sont rabotées. Les allocations notamment celle du chômage sont attaquées. TOUJOURS PLUS POUR LES PATRONS Pendant qu’on nous demande de « faire des efforts », le patronat continue de se gaver. Au moins 211 milliards d’euros d’aides publiques sont distribués chaque année aux entreprises, sans conditions, sans contrôle, sans contreparties. Ces aides finissent trop souvent… en dividendes. En 2024, ce sont 97 milliards d’euros qui ont été reversés aux actionnaires du CAC 40 tandis que ces grandes entreprises réalisent des profits records (131 milliards d’euros en 2024). De l’argent, il y en a ! VRAIMENT PLUS POUR LES PATRONS Et comme si cela ne suffisait pas, F. Bayrou a annoncé une nouvelle réforme du code du travail. Alors qu’il souhaite offrir des journées de travail gratuit au patronat par la suppression de deux jours fériés, il a également annoncé vouloir passer une étape supplémentaire dans la destruction des protections offertes par le code du travail et les accords collectifs. Réduire le délai de contestation d’un licenciement, faciliter le renouvellement des périodes d’essai, faciliter le recours aux CDD et à l’intérim, augmenter le temps de travail, créer de nouveaux jours de carence… Voilà quelques pistes pour “moderniser le marché du travail”. C’est plutôt le grand retour en arrière ! L'AUSTÉRITÉ N’EST PAS UNE FATALITÉ Couper dans les services publics, c’est un choix. Ne pas taxer les ultra-riches, c’est un choix. Refuser d’imposer les grandes entreprises, c’est un choix. Casser le code du travail, c’est un choix. Précariser les salarié·es et les allocataires, c’est encore un choix. Faire croire qu’il n’est pas possible de faire autrement c’est tenter d’éviter le débat sur la société dont nous voulons. ILS ATTAQUENT, NOUS RIPOSTONS Gouvernement et patronat ne comprennent qu’un langage : le rapport de force. Les avancées sociales n’ont jamais été offertes. Elles ont été gagnées par la lutte. C’est par les grèves, les manifestations, l’organisation collective, que nous pourrons bloquer ce projet de budget et imposer d’autres choix. UN AUTRE CHOIX DE SOCIÉTÉ EST POSSIBLE Ce que nous défendons, ce sont des vies dignes. Des écoles qui accueillent toutes et tous les enfants dans de bonnes conditions. Des hôpitaux qui soignent sans délai et des soignant·es dont les conditions de travail sont respectées. Des transports accessibles et écologiques. Des services publics accessibles sur tout le territoire. Des retraites et des allocations chômage décentes. Des salaires qui permettent de vivre et non survivre. L’argent existe pour financer tout cela. Il est dans les caisses du patronat et dans les poches des actionnaires. Face à ce projet dont seuls les plus riches sortent gagnants nous exigeons : La suppression des aides publiques aux entreprises sans condition sociale ni écologique. Une fiscalité plus juste : taxer les super-profits, les dividendes et les grandes fortunes Une protection sociale à hauteur des besoins sociaux en mettant notamment fin aux 80 milliards d’exonérations de cotisations sociales patronales. Des investissements massifs dans les services publics, les salaires, l’emploi, la transition écologique. Ce budget d’austérité est l’arbre qui cache la forêt d’un modèle à bout de souffle. Nous n’acceptons pas une société fondée sur l’exploitation, l’injustice et les inégalités. Nous portons un autre projet : solidaire, écologique, féministe, antiraciste. Cela passe par une répartition radicalement différente des richesses. LUTTER, S'ORGANISER, GAGNER Face à un gouvernement au service des puissants, notre force, c’est notre nombre. L’Union syndicale Solidaires appelle à construire, partout, des mobilisations. Grèves, manifestations, actions : ne laissons pas passer le budget 2026 sans riposte. Pas d'économies sur nos vies. De l'argent, il y en a. Allons le chercher ensemble. Rétablir la vérité sur la dette Lors de sa présentation du budget envisagé pour 2026, François Bayrou n’a eu de cesse d’invoquer la dette publique pour justifier les attaques contre notre modèle social. La dette publique et la dette des ménages sont deux choses distinctes et absolument pas comparables : un ménage ne peut pas émettre des titres pour se financer, il ne peut pas emprunter pour rembourser son emprunt, le coût des intérêts lui est bien moins favorable etc. Cette comparaison n’est évidemment pas anodine, c’est un choix idéologique. Cela permet de présenter l’État comme étant inconsidérément dépensier pour discréditer son action pour l’intérêt général et justifier ainsi la réduction des dépenses publiques. Des mensonges pour casser notre modèle social : Les dépenses publiques ne sont pas responsables de l’augmentation de la dette ! Selon le gouvernement, nous serions « accros» aux dépenses publiques et c’est pour cela que la dette ne cesserait d’augmenter. Or, quoiqu’en dise le gouvernement, celles-ci restent stables depuis 2017. Si ces dernières années, la dette publique a augmenté c’est parce que le déficit a été creusé par la baisse des recettes. Cette baisse de recettes provient essentiellement des politiques fiscales mises en place depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, qui n’ont eu de cesse de favoriser les plus fortunés et les grandes entreprises en baisse d’impôts, exonérations et cadeaux fiscaux. Des mensonges pour nous faire payer ! Ne nous laissons pas avoir ! Toutes les contre-vérités avancées par François Bayrou ne servent qu’à une chose, nous faire peur et nous faire accepter que c’est aux salarié·es, fonctionnaires, malades et retraité·es de payer l’addition.

Pourquoi se syndiquer a SUD Collectivités Territoriales

 Parce que seul, on va plus vite, mais ensemble, on va plus loin !

Se syndiquer, c’est bien plus qu’un acte militant : c’est un choix stratégique pour défendre ses droits, améliorer ses conditions de travail et peser dans les décisions qui nous concernent.

Rejoindre SUD, c’est :

• Se protéger face aux abus et aux injustices.

• Négocier collectivement pour de meilleurs salaires, avantages et conditions de travail.

• Avoir une voix pour faire entendre ses idées et ses revendications.

• Bâtir une solidarité entre collègues, parce que l’union fait la force.

En rejoignant SUD, vous ne défendez pas seulement vos intérêts, mais aussi ceux de vos collègues, actuels et futurs. C’est un moyen concret de lutter contre les inégalités.

Et si vous hésitez encore, posez-vous cette question : qui défendra vos droits si vous ne le faites pas vous-même ?

Rejoignez-nous, parce que chaque voix compte. Parce qu’ensemble, nous sommes plus forts.

 

 

La maladie ne doit pas être motif à sanction !

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Se mobiliser pour tout changer !

20240726-tract.pdf
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LOI FONCTION PUBLIQUE: UN PROJET INJUSTE QUI VA ACCROÎTRE LA DIVISION ENTRE LES AGENT·ES PUBLICS

CP_Solidaires_FP_Projet_de_Loi_Fonction_
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Le mérite c’est non ! Pandémie, événements climatiques… on remercie les agent•es de faire tenir les services publics !
Alors mesures générales :
👉attribution de 85 points pour tous•tes
👉revalorisation du point
👉indexation de la valeur du point sur l’inflation

Manifestation à Saint-Quentin le jeudi 16 février à 15h place 8 octobre.

🔴La réforme des retraites en 5 mn !! Pourquoi doit on se battre contre le projet Macron/Borne ?

AUGMENTATION DU SALAIRE DES FONCTIONNAIRES MACRON NOUS MEPRISE. ALLONS-NOUS L’ACCEPTER ?

29 06 22 communiqué augmentation du poin
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Une marée arc-en-ciel a défilé, ce samedi 18 juin, sous une chaleur caniculaire mais dans une ambiance bon enfant à Saint-Quentin.

1er marche des fiertés a Saint-Quentin le 18 juin 2022.

clique sur l'image

5mn pour comprendre les élections professionnelles le jeudi 8 décembre 2022.

2022-06-02_Tract_Salaires (2).pdf
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RÉÉCHELONNEMENT INDICIAIRE, LES MIETTES DE MACRON NE SUFFISENT PAS A PAYER NOS FACTURES ! IL FAUT BLOQUER LES PRIX DES PRODUITS DE 1ÈRE NECESSITE ! IL FAUT AUGMENTER L’ENSEMBLE DES SALAIRES AU MEME RYTHME QUE L’AUGMENTATION DES PRIX !

rééchelonnement indiciaire 01 05 22.pdf
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Comment participer ?
L’association « Convoi syndical » qui a participé à de nombreuses actions de solidarité héberge nos dons. Les syndicats, sections syndicales, syndicalistes, travailleurs et travailleuses peuvent :
→ faire un chèque à l’ordre de « Convoi syndical » et l’envoyer à Solidaires, 31 rue de la Grange aux belles, 75010 Paris (en indiquant « convois syndicaux » sur l’enveloppe)
ou
→ effectuer un virement sur le compte du Convoi syndical : 2796496A020 La Banque postale.

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tract Feìdeì SUD CT - Salaires 17mars22.
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préavis de grève pour le 17 mars .

Préavis salaires 17 mars 2022.pdf
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salaires grilles 27 janvier.pdf
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Tract Blocage des prix.pdf
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L’augmentation des salaires c’est urgent !

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2021-10-20_tract_salaires-2.pdf
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2021.07.06-_communique_intersynd_-confe_
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vaccin_2021.pdf
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Les cherminots sont en gréve depuis plus de 30 jours ils sont le fer de lance de notre combat contre cette réforme Soyons SOLIDAIRE! Alimentons les caisses de gréves!

clic sous l image caisse de grève

manifestation le  5 décembre a Saint Quentin

Pour l’avenir de la Fonction publique et de ses agent-es

cp_ff_17_mai.pdf
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Les mobilisations de ces dernières semaines renforcent la pertinence de notre engagement dans un syndicalisme de transformation sociale disponible pour toutes celles et tous ceux qui se battent pour changer ce système.Face à l’accaparement des richesses, aux attaques gouvernementales et patronales visant nos droits et nos protections sociales et face aux enjeux écologiques et internationaux, nous vous souhaitons une année 2019 combative, résolue et enthousiaste, une année de progrès et de victoires dans nos luttes.

 

  • SOLIDAIRES avec les salariés et privés d’emploi.
  • UNITAIRES , nous considérons qu’il faut toujours favoriser l’unité avec les salariés et les autres organisations syndicales lorsqu’elle est possible.
  • DEMOCRATIQUES dans l’organisation syndicale en respectant les choix et orientations de chacun mais aussi dans les luttes qui doivent être « maîtrisées » par celui qui est le premier acteur: le personnel. Un syndicat est un outil au service des travailleurs.
  • SUD n’est pas une boutique syndicale soignant sa clientèle

  • On ne vous obligera jamais à prendre une carte, ni avant de vous défendre, ni après. Nous préférons vous convaincre par notre action plutôt que vous cotisiez pour services rendus.
  •  SUD développe son action en fonction des seuls intérêts du monde du travail, quel que soit le pouvoir en place. Pour nous, faire du syndicalisme est un choix et non un plan de carrière, ni une profession. A ce titre, nous refusons de bénéficier d’avantages particuliers liés à notre activité syndicale.
  • La défense des salariés ne s’arrête pas une fois franchie la porte. C’est pourquoi nous participons aux mobilisations pour défendre les travailleurs du secteur privé, les chômeurs, les sans-droits, pour l’égalité homme-femme, contre le racisme et la xénophobie. C’est aussi pourquoi nous appartenons à l’Union Syndicale Solidaires qui, avec ses 90 000 adhérents, regroupe les syndicats de tous les secteurs professionnels.

L’Union syndicale Solidaires, constituée à partir de dix syndicats autonomes, non-confédérés, regroupe actuellement 45 fédérations ou syndicats nationaux. Elle est présente dans la quasi totalité des départements à travers des structures interprofessionnelles locales

Cette union interprofessionnelle, met en œuvre un fonctionnement original basé sur la recherche constante de ce qui unit plutôt que de ce qui divise

Solidaires entend mettre en œuvre un syndicalisme de contre-pouvoir qui lie défense quotidienne des salariés et transformation de la société. Un syndicalisme de lutte pour la construction de réels rapports de forces pour contrer les politiques libérales. Un syndicalisme de lutte pour la mise en œuvre de projets alternatifs favorables aux salariés, chômeurs, précaires, pauvres…

La fédération SUD CT regroupe des fonctionnaires territoriaux et des personnels non titulaires, les uns et les autres appartenant aux différentes filières (administrative, technique, sociale, culturelle, animation, sportive) dela Territorialeet travaillant dans les diverses collectivités territoriales (communes, départements, régions, intercommunalités, établissements publics locaux, CCAS, OPDHLM).

La fédération SUD Collectivités Territoriales est issue de la rencontre et de la volonté de militants syndicaux en rupture avec certaines pratiques syndicales de « cogestion » ou exclus de leur syndicat pour avoir soutenu des luttes visant à soutenir et à développer un syndicalisme d’action fondé sur l’expression et la mobilisation des salariés.

Plus nous serons nombreux et organisés, meilleure sera la défense des salariés.

SUD s’est construit autour des 3 lettres :

Le syndicalisme en 11 dates

histoire_du_mouvement_ouvrier-2.pdf
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